Au souffle pur des vastes mers, Aux clartés roses de l’aurore,Oublie en paix tes jours amers, Pauvre âme que l’ennui dévore.Pauvre âme que l’ennui dévore.Folles amours, jeune saison, Qui désertez ma somber rive,Effacezvous à l’horizon, Comme la voile fugitive.Comme la voile fugitive.Et mon esprit songeant aux Cieux, Devant l’immensité profonde, Entend chanter parles flots bleus, L’espoir béni d’un meilleur monde.L’espoir béni d’un meilleur monde.