Il s’agit d’un numéro baptisé « Les almées », inspiré de ces danseuses égyptiennes appelées dans les harems pour divertir les femmes. Lautrec n’est pas dupe : la Goulue offre un spectacle assez pitoyable (qui préfigure sa triste fin), malgré son costume vaporeux et les musiciens assis qui tentent de donner un « ton » de l’Orient.